La mort de Azgar

Version Longue :

C’était un petit matin frais, la brume chevauchais les sols marécageux aux odeurs nauséabonde et le soleil se faisait bien timide. Cette dernière nuit la lune ne c’était pas montrée, une épaisse couche nuageuse cacheait son doux voile lumineux, ceci était souvent un signe de mauvais présage pour les gorlaks du petit village.

C’était un village à la démographie bien faible, aucun guerrier n’y vivait, tous parti pour le grand rassemblement laissant derrière eux quelques femelles et quelques vieux morceau de gorlak. Ce petit hameau n’était pas le plus rêvé des gorlaks, pauvres, aucun guerrier au exploit rêveur , des femelles incapables et une économie inexistante. La famine ravageai souvent ce petit village, les hivers était de vrai meurtrier. Le départ des quelques guerriers valide laissa le village dans un chaos… Les femelles devait maintenant chasser pour ce nourrirent.

On disait que quand l’astre de Narshoul ne faisait aucune apparition les nouveaux nées serai de mauvais gorlak. Une femelle au ventre bien plein avait prier toute la nuit, elle sentait son rejeton arrivé. Quel horreur de mettre au monde un gorlak ce jour là, non il ne le fallait pas. Inlassablement elle répétai << Oh mon puissant seigneur de l’ombre apporte nous la lumière, donne la nous ! Je t’en conjure >> Le village avait besoin de guerrier pas d’un enfant difforme ou incapable.

Mais le jour était bien là et les contractions de la femelle aussi. ‘Douba’ qu’elle hurlait à tue tête, ‘ douba sortir !’ s’écriait t’elle. Tentant de retenir l’enfant de toute ces forces, hurlant comme une truie qu’on égorgerai, le nouveau née ce préparai à une mort sans le goût de l’existence. A bout de force, le corps en sueur, les dents craquelées sous la force de la mâchoire qui criai la douleur de la mise au monde d’un gorlak, le nouveau née embrassa le jour un cour instant. Il était petit, maigre, hurlant, une véritable plaie pour une gorlak. Les vieux males auraient mieux vite fait de le mangé que de le formé à l’art du combat. Grognant la rage d’avoir mit cette chose au monde, elle hurlai ‘’ Twoa une véritable plaie ! Mwoa te donnera aucun autre nom que celui-ci !!’’ Laissé au sol comme un vieux chiffon le cordon ombilicale encore relié à la vache hurlante, Azgar ouvrit les yeux. Folle de rage, elle coupa le seul lien qui liai encore le gorlak à sa mère, hurlant à tue tête ‘’ Hors de mwoa vue PLAIE !’’.

C’est hurlement avait déjà énervé plus d’un habitant du village, maintenant c’était trop ! Alors le vieux sage du village ce lança sur le chemin de la hutte au crie des insomnies. Trop vieux pour avoir vécu dans une seule bataille certain le pensai chaman, d’autre fou et hérétique. Mais son mystère était sa force, craintif des petits rituel auquel il s’adonnai dans sa hutte, aucun gorlak ne prit son courage pour effacer cette étranger. Il entra calmement dans la hutte, voyant la femelle craché sur son rejeton, il prit un air songeur ce frottant lentement le menton regardant la scène avec intérêt. Azgar encore dans l’enveloppe protectrice de la grosse vache voyait ce qui allait sûrement devenir son père. ‘’Recule stupide femelle ! Laisse mwoa vuar sur kwoa twoa hurle depuis des heurs !’’ Surprise d’entendre pour la première fois la voix de ce vieux gorlak, elle recula instinctivement. Dans un craquement d’os, la peau rongé par les pustules le vieux regardai Azgar avec un regard ambitieux. Levant le regard vers la femelle horrifié de ce qu’elle avait fait, elle lui dit sans aucun remord ‘’ Prendre le si twoa faim ! Bouffe mwoa cette plaie !’’. Esquissant un léger sourire le vieux fou prit le gorlak dans ces bras pour l’emmené avec lui dans son taudis.

Les année passaient, le vieux fou lui apprenait la lecture l’écriture la foie en Narshoul… Le nourrissant avec des mixtures bizarre préparer par le senior il devenait un gorlak comme les autres. Le conditionnant dans un état d’esprit de soumission, de dévotion total le vieux fou lui faisant enduré des entraînement toujours plus exténuant de jour en jour. Le voulant fort, grand, rapide, infaillible il poussait toujours plus haut. ‘’ Si twoa ne devient douba à la hauteur, twoa gardera ton nom de Plaie !’’ s’exclamait t’il durant les entraînement. Mais il manquai une connaissance que le vieux ne possédai pas, l’art de combattre. Ce faisant trop vieux pour continuer son enseignement au jeune gorlak il n’avait plus qu’un seul choix. Le laissé à Luk’maar pour qu’il finisse sa formation au art de la guerre. Alors il entrepris le chemin vers Luk’maar accompagné de son chien sans nom. Arrivé au porte de la ville le vieux fou laissa quelque parole à Azgar ‘’ Twoa apprendra à te battre ici ! Reste y ! Sert Narshoul comme mwoa te l’avoir appris, ne connaît douba l’échec. Twoa te nomme Azgar désormai’’
Puis il parti laissant le jeune gorlak dans l’ignorance de ces origines. Dans le village ou Azgar avait grandit, Azgar signifiai ‘’ Celui qui combat pour le sang’’. Il lui fallait tout découvrir maintenant…

Les temps passait, Azgar s’intégrait lentement dans Luk’maar, s’entraînant au combat comme on lui avait ordonné sans vraiment savoir qu’elle ligne de conduite il aurait du suivre. Servir le Sombre, bien, mais comment ? Azgar avait choisi la solution la plus rapide. Pour servir le sombre il faut montré la puissance de sa création à tout affront posé. Il n’y avait plus une seul journée sans que Azgar coupait des discussions avec sa lame devenant incontrôlable, fou selon certains. Ce Gorlak semblait habité d’une haine, d’une rage mais aussi d’une ferveur à toute épreuve. Alors qu’il se créait plus d’ennemis que d’amis, le Général de la horde, le grand et légendaire Tran’kork avait fait son annonce qu’il recrutait des soldats pour la grande armée du futur. Voilà un moyen de se faire connaître… Faire valoir sa force, sa bravoure au champ d’honore, il y avait un chemin à prendre. Alors Azgar s’engagea dans l’armée , suivant plus d’entraînement qu’il était humainement supportable, essayant de se faire remarqué du Général. Mais tout le monde sais que c’est le clou qui ressort qu’on martèle et cela ne tarda pas à arrivé.

L’histoire du gorlak sombre, avait déjà parcouru les landes, le nombres de victimes avait déjà dépassé le seuil acceptable pour un Gorlak. Luk’maar portai dans ses bras un assassin minutieux, s’attaquant à la caste ouvrière de Luk’maar dans les sombres rue de Luk’maar ou doit t’on avoué, même un rat refuserai d’y vivre. Le levé du soleil n’était plus de bonne augure, chaque brin de lumière qui traversai Luk’maar laissait découvrir un cadavre, mutilé de la même façon, tuer avec le même mode opératoire. Luk’maar n’a jamais été une ville sur pour un artisan mais cette fois, elle devenait un acte de décès. Après plusieurs jours, l’armée devait se mêlée de cela, alors le général Tran’kork ordonna à ses peon, dont Azgar, de s’occupé de cette affaire, de trouvé l’assassin. S’en suivie une chasse à l’homme, des enquêtes et beaucoup de rumeur…

« Extrait des écris de Ragnalurk » http://www.uoteilia.com/forum/viewtopic.php?t=3602

Un soir sombre, durant un entraînement militaires à l'arène dirigé par Wruntak et Baratok, plusieurs péons faisait comme les grunts leurs demandaient. Dans ces péons se trouvait un trouble fête: Azgar Kas'Krane. Après une longue dispute avec Baratok, les Grunt décida de finalement l'emmener vers le poteau de la honte mais on y trouva l'Archi chaman qui venait annoncer une nouvelle sombre, meurtrière :

Un autre puon s'utre fait ussassiner... ugorger...

Truvez l'ussassin!

Après cela, les Grunt sont allé discuté au sujet de la punition d'Azgar, mais cela tourna mal! Azgar sortit une dague et agrippant baratok par derrière en le menacent de lui trancher la george. Il l'emmena a la palissade ouest pour l'enfermer
Cet évènement avait laissez des soupçons a Ragnalurk qui enquêtait sur les multiples assassinats de Luk'Maar depuis plusieurs jours déjà. Il réalisa ainsi que Azgar avait le comportement parfait pour correspondre au Gorlak Sombre. Il décida ainsi d'annoncer la nouvelle a tout les gorlaks présent
Tout les indices laissaient croire que Azgar pouvait être l'Assassin des autres péons.

Les évènements se faisaient de plus en plus sombre dans Luk'Maar. Maintenant, un Péon avait été assassiné devant les yeux de tous, par Azgar lui-même, le suspect de Ragnalurk. Le corps ayant été décapité par Azgar, il gisait au sol près du feu, ensanglanté et dégoûtant.
Amenant de plus en plus de soupçon sur son cas, Azgar s'enfonçait lentement. Ragnalurk continuait a tout faire pour que les autres croient Azgar coupable d'avoir assassiné tout les péons découvert durant les nuits.
Les rumeurs commençaient a peser lourd sur les épaules d'Azgar, mais personne ne savait si c'était vraiment lui le Gorlak Sombre. Ragnalurk continuait par contre à interroger les marchand ici et là au sujet de Gorlak louche, pouvant le mener au Gorlak Sombre si ce n'était pas Azgar. Bref, il gardait un léger stress, mais ayant repris quelque peu son calme, Ragnalurk en profita pour se faire raser par Dakmah et il dormit sur ses deux oreilles pour la première fois depuis le début des assassinat du Gorlak Sombre.

Chacun employer sa méthode, Ragnalurk cherchait des preuves, Azgar lui tuait tout gorlak louche. Bien sur les deux ne pouvais être en accord et cela donnait bien des prétextes à Ragnalurk. Mais une chose est sur, celui qui capturerai le Gorlak sombre serai couvert de prestige et reconnu par toute la horde gorlak. Pendant que Azgar continuait c’est recherche sur ce gorlak mystérieux et récit sanglant, il vouait corps et âme au chaman de la horde avec un dévotion que nul autres gorlaks n’avait. Ceci intéressait fort les membres du Cercle Chamanique, voyant dans Azgar un fier guerrier pour les représentés, faire la valoir tout le charisme des gorlaks, un protecteur chamanique. Alors afin de protéger Azgar, il fit l’annonce qu’il n’était nullement possible que Azgar puisse tranché autant de gorge de cette manière, discréditant totalement à Azgar de tout lien avec le gorlak sombre.
Un soir alors que Azgar était posté à attendre une signe quelconque du meurtrier, une ombre, rapide comme le vent, laissant une odeur de mort derrière elle, passant non loin de Azgar. Azgar déguisé en artisan, larbin, sorti discrètement sa lame de son dos sentant l’ombre approché sur lui, l’ombre pensait t’elle encore tombé sur un pauvre paysan faible ? D’un coup d’éclair il désarma cette brume vivante, laissant apparaître le corps d’un gorlak pâle, maigre et petit. Maîtrisé, avec le seul choix outre la mort, de suivre les ordres de Azgar et l’assassin tentait de se disculpé. Mais Azgar ne voulait rien entendre de tout cela, il tenait enfin son titre, il le fit enfermé en prison, le temps de quérir et vanté c’est exploits au Général Tran’kork.


Tran’kork afficha un léger sourire, l’air satisfait de Azgar et se mit en route hâtivement en direction de la prison, curieux de découvrir l’assassin. Arrivé à la prison, voyant la proie de Azgar dans la cage il se tourna lentement vers Azgar avec un regard plutôt fâcheux. Puis s’en rien dire entra dans la cellule suivit d’Azgar. Puis tout en regardant Azgar il coupa les liens du Gorlak et dit à Azgar :
« Tu viens de démolire mon assassin personnel, ce n’est pas lui l’assassin »

Puis il donna une arme à son meurtrier en lui faisant comprendre qu’il pouvait s’amusé avec Azgar. Puis il parti ferment la grille, jetant la clé à Firkoz son assassin.
La défaite que subit Azgar se jour la, allait changé complètement sa vision des choses quant à se général de la horde.

Le temps passa Azgar se tenait à l’écart quand survint des preuves crucial permettant la découverte du véritable assassin.

« Extrait de la mort du Gorlak Sombre » http://www.uoteilia.com/forum/viewtopic.php?t=3980

Comme à son habitude, l'arène de Luk'maar se fesait entendre par ces bruit de fer qui s'entre choque dans la citée humide des Jungles de teilia. Les bouclier craquant sous les coups puissant des gorlaks personne ne semblait vraiment porté attention au banc des spectateurs. Et pourtant, le pire ennemi de la fier horde gorlak y était assis, sans que personne ne lui donne une quelconque attention. Sauf pour Baratok, toujours l’œil aviser du moindre détaille. Baratok reconnaissant certain signe que le gorlak sombre laisait derrière lui après ces meurtres sanglant et incessant, commença l'enquête. Dans les gradins l'agitation ce fessait sentir attirant de plus en plus de regard. Les signes ne mentait pas, vêtue de rouge, d'une caisse a outils, il était le coupable désigné. Ragnalurk l'expert du Gorlak sombre le savait, son coupable qu'il recherchait depuis tant de lunes était devant lui. Les gorlaks n'avait jamais été aussi unis dans un même but et bientôt Ragnalurk allait le démasquer. Le gorlak sombre assommé de question par l'enquêteur de luk'maar voyait bien qu'il était démasqué. Prit de panique il pris la fuite, pensant pouvoir échapper à la horde sanglante, mais ceci n'était qu'une illusion. Personne ne peu fuir face a la rage des Gorlaks, épuiser a bout de souffle il ne mit gère longtemps à s'écrouler sur le sol entouré d'une meute sanguinaire. Pour Wruntak, 1er classe Grunt, cette fuite ne faisait aucun doute il était le gorlak sombre. Wruntak prit le condamné à mort par les deux bras et le tira vers les poteaux de la honte, que ce même gorlak avait installé. A genoux devant le poteau, sous le regard sombre et violent de Wruntak, l'homme sentait sa mort proche. Wruntak fit tombé la sentence, "coupé lui les mains puis pendé le !" parlant à Azgar. Azgar le sourire sanguinaire, demanda à Muruk de lui maintenir les mains fortement pour qu'il ne rate sa coupe. L'accusé, privé de sa liberté par Muruk sentait qu'il n'y avait aucune fuite possible. Hurlant à la pitié, à la clémence, Azgar aussi sombre que son coeur coupa les deux mains du sombre dans une giclé de sang magnifique tachant les gorlaks qui regardai la scène avec le sourire en balançant toutes les humiliations.
Azgar pris le corps privé de ces mains, ce vidant de son sang et le pendu a l'arbre. Dommage pour la horde le corps mourut bien avant le manque d'air. Un nouveau pantin d'entraînement était installé. Mais sa n'était pas assez. Muruk coupa la corde pour décrocher la tête du corps. Azgar voyant le corps au sol ressentait le même sentiment que Muruk, ce n'était pas assez. Il fallait en faire un exemple, il devait inspiré la peur à tout ceux qui voudrai nuire à la horde. Alors Azgar pris le corps sur ces épaules et le transporta jusqu'à l'entré de luk'maar pour y suspendre le corps par les pieds. Gralmag gardant l’œil sur le corps, Azgar alla cherché Garuk le bricoleur pour que celui ci lui face une pancarte bien lisible. Garuk fixa la pancarte sous le regard de la horde à côté de la carcasse puante et horrible du Gorlak sombre. On pouvais y lire très distinctement :

<< Infidèle de Narshoul, voilà votre sort >>

La horde pouvais être fier de cette capture, elle était l'exemple de la force, de la ténacité de ces guerriers à la pitié bien caché.

Les temps coulait lentement, les gorlaks toujours à s’entraînés pour une éventuelle guerre, Azgar se faisait plus discret. Servant toujours autant les chamans avec son titre de peon de la horde. Mais un jour la guerre éclata, la horde allait se posé sur le front, face aux peuples Daëlwena et Nalkiri. Le dernier assaut qu’il avait lancé sur Luk’maar devait être puni par le sang et le carnage. Alors la horde pris la route des terres d’arbres et de vie sauvage pour installé leur camp avancée, dévastant les forets alentours.

« Extrait du mémorial d’Azgar, Un général qui montre l’exemple »

Un jour le cor résonna, c’était la guerre, nous allions nous battre contre les rats vert. J’étais heureux car j’avais été chargé de la protection de l’apprenti Chaman Arzoukoum, quoi de plus glorieux que de servir les émissaires de Narshoul ? Mais ce fut de courte durée… L’apprenti à du se retiré et je me suis vue assigné dans la troupe des troufions de base pour lancé la première vague d’assaut. Nous tenions nos ennemies en échec… Mais le général sonna le replie. Lâche que j’ai pensé, se replier alors que leur ligne de front allai tombé ? Je pouvais me battre, je devais montré à tous ma ferveur, ma dévotion, ma force. J’ai contrevenu à l’ordre de replie et j’ai chargé les lignes ennemies… J’étais fier de moi, deux que j’avais réussi à abattre avant de me replier, mais le général n’étais pas fier de moi, il m’insulta et me promis que je ne serai jamais promu au titre de Grunt. Pris de rage, je lui es sauté dessus, bien sur je n’es pas mit longtemps à me retrouvé au sol. A mon réveille, j’étais nu, laissé pour compte, sans rien pour survivre. Toute les troupes c’étaient retiré et j’ai appris rapidement que je n’avais plus à remettre les pieds à Luk’maar… Ma rage était à son plus haut, le goût de la vengeance m’a pris, il me fallait me vengé mais il fallait aussi être patient.

Pour m’approché de lui, il me fallait mettre les pieds à Luk’maar… J’ai accepté son humiliation publique pour être réintégré à la sainte citée. Le temps passa sans que je n’es les capacités pour l’abattre. Résigné au rang de peon toute mon existence, faire le larbin avec ma haine qui m’habitai. Le cercle voyait de grande chose en moi, il faut dire que le vieux fou m’avait bien enseigné les préceptes de notre tout puissant cilias Narshoul.

Alors qu’un soir le Cercle Chamanique devait se réunir, celui ci n’avait aucun guerrier pour protéger le temple lors de leur réunion. Il ont donc demandé à Azgar de protéger le temple. De file en aiguille, le conseil en est venu au sujet de Azgar et bon nombre de chaman on recommandé le jeune Gorlak pour leurs protections. C’est ainsi que Azgar entra dans le Cercle Chamanique en tant que protecteur, ainsi que Targrak Ursh en tant que apprenti Chaman. Le temps passait, Azgar suivait les conseils de son Maitre Arzoukoum, devenant de plus en plus puissant chaque, faisant porté les saintes paroles jusqu’à la moindre poussière de Luk’maar. Son ascension dans le cercle chamanique concordait étrangement à celle de Targrak Ursh et bientôt les deux gorlaks devrait s’affronté pour bon nombre de raison. Tout deux décidé à faire quitté l’un d’eux du Cercle chamanique. Chacun pensait suivre la meilleur voix, chacun pensait avoir raison, jusqu’au jour ou un chaman vint dire à Azgar, « Si Targrak reste chaman, la horde cour à sa fin » .
Ceci fut révélateur au yeux d’Azgar et bientôt tout l’ordre Chamanique allait se monté contre Targrak pour le faire exclure. Mais avant sa il fallait convaincre le Seigneur Rek’thar de posé telle geste. L’union était faite au sein du Cercle, tout le monde était d’accord mais seul le Seigneur noir avait le pouvoir de faire les souhaits de c’est disciple. Alors Azgar entrepris une longue enquête pour y formulé un rapport afin de mettre le Seigneur de glace au courant de ce qu’il se passait, cette histoire résumait bien une parti de la vie de Azgar.

« Extrait du mémorial de Azgar, Un nouveau chaman pour la horde »

L’apprentissage du chaman Targrak :

Durant la période où le chaman Targrak était apprenti celui ci laissait déjà présagé bien des choses sur son sujet. En effet pendant sa période d’apprentissage, le chaman Targrak était un gorlak agité, impulsif, colérique, utilisant la parole du cercle à outrance tout en utilisant la magie de Narshoul à sa guise. Plutôt que de prendre exemple sur ce qui aurai du être son mentor Arzoukoum, il ne suivit aucun apprentissage, ne ce concentrai pas sur la connaissance de la Sainte voix et par dessus tout il se prenait déjà pour un chaman.
Malgré tout cela le chaman Targrak à été placé au rang de chaman dans le cercle chamanique… Tout le monde aurai pensé que cela le rendrait plus sage, moins impulsif…

Un nouveau chaman pour la horde :

La place de chaman lui est très vite monté à la tête, il est devenue provocateur, agressif, insultant. Moi en tant que Protecteur de l’ordre chamanique, je me devais de calmé ces ardeurs, ces hurlements après les guerriers de la horde n’était pas l’attitude d’un chaman, mais ceci n’a eu que pour réponse que j’était un traite à la horde…
Après cette altercation avec celui ci, j’évitais de rencontré le chaman Targrak, car bien que je ne remet pas en doute le choix de notre Seigneur Rek’thar, je ne pouvais lui faire confiance.
Mais tout cela est devenu plus compliqué quand il commença ces affaires douteuses avec son frère, le capitaine des troupes au sol, Baratok, le faite que Arzoukoum soit parti en pèlerinage durant cette période à du donné le sentiment au chaman Targrak qu’il était le seul unique chaman de la horde. Ainsi il ordonnait à son frère de faire certaines actions, le chaman prenait la place d’un général des armées, hurlant sur ceux qui défiaient ces ordres pour n’en cité qu’une :
« TU OSE DEFIE LA PAROLE D’UN CHAMAN !? »
Mais tout cela aussi en utilisant la magie divine à outrance sur les gorlaks dans le but de montré sa puissance et non celle de notre tout puissant Cilias Narshoul… Pendant la guerre contre le peuple Keijan celui ci à véritablement causé un énorme trouble dans les rangs de l’armée, en prenant le commandement de l’armée, les guerriers ont perdu confiance en la parole du cercle chamanique et dans un élan d’incompréhension ils ont insulté le chaman Targrak. Ceci m’a mit dans une position difficile car il m’a ordonné de punir ce qu’il considérait comme des infidèles, des traîtres et inutile de dire que j’ai du attaqué presque la moitié de l’armée… C’est ici que la horde s’est divisé en deux, ceux qui croyaient le chaman Targrak et ceux qui ne le croyaient plus… Pendant la guerre il a diffusé de fausses informations, comme celle que les Mortanyss nous attaqueraient si nous ne stoppions pas notre avancés sur les terres Keijan. Causant un trouble dans nos relations avec ce peuple.
Bien sur cette histoire c’est régler sans aucun rapport, ni rien, le cercle chamanique n’a pas été averti de ce qu’il en retournait mais il semblait que le problème fut régler rapidement, mais cela devenait une habitude chez le chaman Targrak. Il prenait de plus en plus de décision sans consulté le cercle et ces actions commençait à devenir de plus en plus louches.

Des erreurs surviennent, la horde à été mit en danger :

Il y a de cela quelques mois, la horde à commencé des travaux de fortification du territoire pour couvrir certaine faille dans notre défense. Il est vrai que pendant ces travaux nous sommes bien vulnérable mais il fallait le faire. Pendant la deuxième semaine du commencement des travaux, une délégation diplomatique Daelwena est venu en nos terres. Celle ci à été reçu par le chaman Targrak et pour une fois nous avons reçu un rapport du chaman Targrak, mais il aurai été difficile de ne pas en faire étant donné ce qu’il en a découlé. Les Daelwena avouait leurs faiblesse face à nous, tout en disant que c’était nous qui avions raison, que personne ne devrait douté du peuple Gorlak car c’est lui détient la vérité de se monde. C’est parole était belle est bien bizarre venant d’un telle peuple. Ils souhaitaient que la horde cesse ces attaques sur leur peuple et que en échange ils nous fourniraient deux armures d’os par mois. Ceci étant complètement dérisoire, deux armures ? pour plus de trois milles guerriers ? Allons je n’était pas dupe, mais le chaman Targrak lui c’est laissé tenté par cette proposition mais avait tout de même un léger doute quant à leurs paroles et leurs geste. Il accepta l’offre avec une condition… Que nous gardions l’un des leurs en captivité le temps qu’ils nous fournissent les armures du premier mois en gage de leurs bonnes foi, chose qu’ils ont acceptés. Après cette annonce plusieurs guerrier ne pouvaient accepté une telle chose, pactisé avec ces rats vert ? Non cela n’est pas possible… Après quelques jours le chaman Targrak ordonna de l’utilisé dans la construction des fortifications, je me suis opposé à cette ordre. Nous ne pouvions pas utilisé un ennemie dans la construction de notre défense il aurai trop facilité de connaître les failles et même d’en construire. Alors j’ai questionné le Daelwena prisonnier dans le but de testé leurs foie. Je n’en est pas été déçu, j’ai reçu le même discours :
« Gorlak c’est vous qui avez raison, nous étions dans l’erreur »
Dans pour vraiment voir s’il pensé ce qu’il disait je lui es donné une épreuve, Coupé cinq arbre et les brûlé tout de suite, ainsi que tuer dix ours et de brûlé leurs carcasses sans récupérer quoi que ce soit des corps. Il fût pris de panique ne voulant refusé cette épreuve, mais je savais très bien qu’il ne renierai pas ces convictions. Alors il demanda à être libérer, je l’ai conduit donc hors de la ville puis il m’a posé des question bizarre :
« Vos fortifications sont telle fini ? Puis je les visités ? Faire un tour de votre territoire ? »
Il s’était dévoilé tout seul, c’était un espion. Je n’es pas fait dans la dentelle, j’ai mit fin à ces jours, il en savait déjà trop. Ainsi le chaman Targrak par un manque de sagesse, attiré par l’appât du gain, la soumission d’un peuple, à accepté de laissé séjourné un espion en nos mur mettant ainsi la horde en danger.

Un chaman reniant les choix de Rek’thar :

Alors que je me promenai en Luk’maar j’ai aperçu une discussion en plutôt chaude entre le Chaman Targrak et la femelle apprentie chaman. Celle ci avais fait une remarque à son frère Baratok Ursh pour son irrespect et ces insultes. L’attitude d’un chaman aurai été de discuté calmement de cela mais au lieu de cela il hurlai sur la pauvre apprentie. Je ne pouvais resté indifférent, même si elle n’est qu’une apprentie… Alors je tenta de mettre un terme à tout cela en disant au chaman Targrak de ce calmé, chose qu’il n’apprécia guère, alors il lança une inquisition sur moi. Il à donc rassemblé les gorlaks en injuriant un fils de Narshoul, moi et à demandé ma capture car j’avais défié Narshoul et que j’était un traître. Chose complètement fausse… Si Rek’thar ma choisie il avait ces raisons, voilà ce que je lui rétorqua quand il lança l’inquisition. Sa réponse était clair :
« Rek’thar c’est trompé ! Tu es un traître ! »
Comment ose t’il dire que le Seigneur Rek’thar c’est trompé ? Cela est impossible. La suite nous la connaissons, l’armée de Baratok Ursh à tenté de me mettre au arrêt enfin plutôt de me tuer. Je pense que le chaman pensai pouvoir m’écarté de cette manière. Heureusement mon bon Seigneur à utilisé son temps précieux pour mettre les choses au clair. Mais ceci n’est qu’un seul exemple, ma mémoire ne retient pas le nombre de fois où de telle cas ce son produit.

Un chaman qui crée son propre cercle :

Un chaman à la tâche de formé les jeunes apprentis chaman mais cela ne semble pas être dans mœurs du chaman Targrak… Au début je pensai qu’il n’en avais pas le temps, il faut dire que les choses sont plus compliqué depuis le départ de mon Maître Arzoukoum. En plus de manqué de respect au membres du cercle en les insultants, les dénigrants plutôt que les aidés, le chaman Targrak formai des « fidèles » dans d’autre peuple, dont à ma connaissance un Keijan et un drakan mais il doit en avoir plus. J’ai bien sur questionné ces « fidèles » sur leurs connaissance en Narshoul, de la Sainte Bible mais leurs connaissance frise le ridicule par des réponses complètement fausse et des mensonges. C’est la preuve une fois de plus que le chaman Targrak manque éperdument de religion, il doute du culte du sang, renie le codex des protecteurs mais de plus me demande d’assuré la protection de ces « fidèles » contre mes frères et tout danger qu’ils pourraient encourir. Mon Seigneur ne ma pas donné cette mission… j’ai bien assez à faire avec les gorlaks .

Un chaman à double jeux :

Le chaman cache son jeux, mais je sais de ce que j’ai vue,, entendu, constaté, qu’il mène une vie bien étrange. Je pense que lui et son frère veulent prendre le pouvoir de Luk’maar, Targrak la place du Seigneur Rek’thar, Baratok la place de cette incapable de général. Combien de coup on t’ils orchestrés sans que le capitaine Wruntak ne soit mit au courant. Celui ci apprennent les faits toujours bien trop tard, ce qui le place dans une situation difficile vis à vis de ces soldats. Ils ont tout tenté pour me faire tuer ou encore bannir de la ville, allant jusqu’à même monté un coup avec le peuple mortanyss en faisant croire que j’avais attaqué des Mortanyss. Mais après enquête seul un mortanyss était au courant de cette soit disant attaque et il refusai de donné le nom de celui que j’aurai du attaqué car c’était un mensonge. Malgré cela plusieurs gorlak de l’armée de Baratok sont venus me voir pour me dire, nous avons reçu l’ordre de te capturé pour ton attaque faite sur les mortanyss. De plus Baratok sûrement sur les conseilles de son frère à ordonné à des mortanyss par deux reprises de m’attaqué en plein dans Luk’maar.
Le chaman Targrak prend beaucoup de décision sans avertir le cercle de quoi que ce soit, il mène sa propre politique et non celle de notre bien aimé Seigneur Rek’thar.

Mets conclusions sont que le Chaman Targrak veut prendre le pouvoir de Luk’maar avec son frère Baratok en écartant tout gêneur ou celui qui réfléchirai, pour le moment je cache mon jeux avec le chaman mais cela devient trop dur, il va de plus en plus loin. Il croit que je suis à son service mais il y a bien longtemps que je n’exécute plus ces volontés. Tout le cercle chamanique souhaite que le chaman Targrak soit retiré de son poste de chaman, lui coupant ainsi les pouvoirs dont il jouie, les utilisant à ces propres intérêts et non ceux de la horde et de notre tout puissant Cilias. Malgré tout cela il c’est avéré compétent comme ambassadeur diplomate et nous espérons qu’il soit mit à ce titre mais qu’il ne puisse prendre aucune décision sans l’approuvement du cercle chamanique.

Quand le Cercle ce réunie Rek’thar n’attendait plus qu’un seul prétexte pour renvoyez le Chaman Targrak. Cela ne mit peux de temps à arrivé, Azgar avait réussi. Cela à conforté la place dans le Cercle Chamanique et très vite on lui confia une autre mission, qui réjouissait de plus en plus Azgar. S’occupé du trouble faite, Le Général Tran’kork.

« Extrait du Mémorial d’Azgar, Un Général qui montre l’exemple »

Je me souviens encore de mon arrivé à Luk’maar, ou je n’était encore pas sur de la voix que j’avais choisi. Le vieux fou m’avais laissé ici dans le but que je me parfaire aux armes et à l’art de la guerre. L’armé me semblai approprié pour cette apprentissage. Comme beaucoup d’autres, j’était considérer par les Grunts de l’armée comme un peon inutile, une larve. Il y avait des entraînements militaire tout les soirs pour ce qui désirai entré dans l’armé. C’est ainsi que j’ai fais ma première rencontre avec le général des armés de Luk’maar, Tran’Kork. J’avoue avoir été impressionné par ce guerrier qui dégageai un charisme, une force, une expérience impressionnante et que dans mon désire de me parfaire aux armes il m’aurai été tout à fait qualifié. A vrai dire je l’admirai… Les semaines s’écoulaient sans que l’on remarque mes efforts pour m’intégré, pourtant j’en faisait autant que mes compagnons de galère, tour de garde, formation militaire, entraînement… mais cela semblai insuffisant. Malgré cela les chamans continuai de me poussé, j’avais un belle avenir qu’il me disait. Mais cela me semblai trop lents, plusieurs de mes compagnon était déjà nommé Grunts première classe alors que je restai au rang de peon. Alors pour que ce général, pour qui j’avais tant d’admiration, me vois je décida de lui faire affront. A cette époque j’étais orgueilleux, arrogant et surtout fou furieux. Mais le vieux fou m’avais dit, soit le meilleur… La correction que je me suis fais infligé fût sévère, mon admiration pour ce guerrier avait déjà perdu de sa lueur. Sans comptez celle de Firkoz. Je décida donc d’évité le Général…
Un jour le cor résonna, c’était la guerre, nous allions nous battre contre les rats vert. J’étais heureux car j’avais été chargé de la protection de l’apprenti Chaman Arzoukoum, quoi de plus glorieux que de servir les émissaires de Narshoul ? Mais ce fut de courte durée… L’apprenti à du se retiré et je me suis vue assigné dans la troupe des troufions de base pour lancé la première vague d’assaut. Nous tenions nos ennemies en échec… Mais le général sonna le replie. Lâche que j’ai pensé, se replier alors que leur ligne de front allai tombé ? Je pouvais me battre, je devais montré à tous ma ferveur, ma dévotion, ma force. J’ai contrevenu à l’ordre de replie et j’ai chargé les lignes ennemies… J’étais fier de moi, deux que j’avais réussi à abattre avant de me replier, mais le général n’étais pas fier de moi, il m’insulta et me promis que je ne serai jamais promu au titre de Grunt. Pris de rage, je lui es sauté dessus, bien sur je n’es pas mit longtemps à me retrouvé au sol. A mon réveille, j’étais nu, laissé pour compte, sans rien pour survivre. Toute les troupes c’étaient retiré et j’ai appris rapidement que je n’avais plus à remettre les pieds à Luk’maar… Ma rage était à son plus haut, le goût de la vengeance m’a pris, il me fallait me vengé mais il fallait aussi être patient.

Pour m’approché de lui, il me fallait mettre les pieds à Luk’maar… J’ai accepté son humiliation publique pour être réintégré à la sainte citée. Le temps passa sans que je n’es les capacités pour l’abattre. Résigné au rang de peon toute mon existence, faire le larbin avec ma haine qui m’habitai. Le cercle voyait de grande chose en moi, il faut dire que le vieux fou m’avait bien enseigné les préceptes de notre tout puissant cilias Narshoul. Ainsi j’ai été intégré au cercle chamanique en temps que protecteur du cercle. Pendant ma période d’apprentissage je ne voyais que très peu le général Tran’Kork et puis il n’avait plus rien à me dire, j’étais sous la protection du cercle. Avec l’apprentissage des chamans j’ai appris rapidement ce qui faisait la puissance d’un guerrier, le husak, plus le Husak était grand plus les capacités du guerrier augmentai. Je remarquai bien que le général Tran’Kork ne faisait pas preuve de religion mais sans toute fois défier la sainte bible. Avec le temps, les chamans mon conférés bien plus de pouvoir que je ne pouvais l’imaginé, ma force avait grandi et je devenais capable de contrôlé les flux d’énergie que Narshoul avait mit dans notre monde. J’avais pour mission de faire respecté les lois de Narshoul. J’étais déjà en mesure de vaincre Tran’kork mais utilisé les pouvoirs de Narshoul pour ma vengeance… Non cela je ne puis. Mais un beau jour j’ai vue Tran’kork arrivé dans une armure métallique, quelle insulte à Narshoul de ce promené dans un telle attirail. Bien sur je tenta de le remettre en place sans la force, mais il m’a sauté dessus… Je me suis retrouvé vite au sol, avec un vieux souvenir qui me revenais. A plusieurs reprise il défia les lois de Narshoul sans que je ne puisse réellement faire quelques choses, j’avais reçu ordre de le laissé tranquille pour le moment… Mais il y a peu il entra en armure faite de sombralir dans le temple sacré, sans aucune gêne défiant la lois interdisant le métal dans le temple. Cela était de trop, j’ai tenté de le faire partir sans la force, chose que je réussi mais cette actes ne pouvais resté impunie. Je me suis empressé de lui faire savoir mais sa réponse fut une fois de plus rapide, il me sauta dessus… Maintenant c’était sur, il devait mourir, trop longtemps il à joui de son pouvoir de général, trop longtemps il à bafoué la sainte voix.

Mais azgar menait une situation délicate. Il était amoureux de la femme du Général et elle aussi. C’est deux gorlaks menait une vie bien étrange, cachant leur amour dans l’ombre sous l’œil de Firkoz qui les espionnaient.

« Extrait du récit, Un amour à la Gorlak »

Tout le monde connaissaient Azgar comme un être insensible, un cœur de pierre, infaillible… Mais en réalité il en était bien tout autre. L’histoire débuta dans le sang, c’était alors un début de soirée bien frais, les gorlaks comme à leurs habitudes croissaient le fer à l’arène, sous les yeux attentif du général Tran’kork. C’est alors que Azgar vint à l’arène comme à son habitude pour veillés sur ces frères. Ce qui aurai dû être une surprise certaine pour n’importe quel membre du cercle chamanique ne l’était pas pour Azgar, Tran’kork le général des armées était vêtue d’une armure faite de minerai… encore un affront au père sombre, une habitude pour ce général complètement hérétique. Bien sur Azgar ne pouvais laissé cela ainsi, il fallait punir le général. Azgar arme en main ce jeta sur le général, mais une fois de plus les tactiques sournoise telle que le poison était de mise chez ce général. Le poison ne mit pas bien longtemps avant de déclenché un arrêt cardiaque sur le gorlak, privé de son énergie il ne puis que s’écroulé sur le sol, devant la moitié de la horde. Pauvre protecteur, une fois de plus, sans que cela ne deviennent coutume, il fut humilié devant toute la horde.

Azgar, fortement tourmenté, accablé de sa défaite alla trouvé refuge au temple, tentant de comprendre pourquoi un gorlak défiant les lois du Sombre Narshoul pouvais gagné face à lui. Perdu, le doute le prenait, est ce que le Husak était une réalité ? Ou simplement un appâts ? Pourquoi un fidèle serai t’il vaincu contre un infidèle ? Bien trop de question qui restait s’en réponse… Malgré les réponses que le chaman Larhkor apportai au protecteur tourmenté, cela ne venait pas à le sortir du doute. Qu’elle ennemie ? Pourquoi ? Pourquoi servir Narshoul ? Quelle voix avait t’il embrassé quand il devint protecteur ? Même le Grand Protecteur Fratricide ne parvint à effacé ce doute. Il avait perdu son amour en Narshoul. Faisant mine d’être d’accord, Azgar parti du temple pour se prendre d’ivresse à la taverne. Complètement ivre mort, la bouteille de rhum à la main, Azgar marchai dans les rues de Luk’Maar, ou plutôt se traînai de tas de boue en tas de boue, émettant sans cesse des âneries. Jusqu'à ce que la lueur de Luk’maar vint se posé sur lui, la beauté, le rêve, Tokah, la femelle du général…Tout le monde la voulait, pendant ces classes militaire tout le monde ne pouvaient retenir ces ardeurs avec cette femme, cette femme au forme généreuse, au sourire charmeur… Cette femme que Azgar avait ramené de l’autre bout des terres pour ne pas la laissé à son triste sort. Elle était devant lui, tendant la main avec son sourire de lune, ces yeux à la lueur des étoiles et son parfum des roses. Ivre mort, plein de boue, les yeux emplies de larme, la blanche colombe et le crapaud… Celle ci déterminé à le comprendre, à le consolé, ne mit pas bien longtemps pour prendre le gorlak ivre, de force pour le porté dans une chambre de la taverne. Attendant sagement que celui ci reprenne goût à la sobriété, elle le nettoyai, le changeai. Puis s’en suivit une longue discussion, ou la tendre, le douce fit connaître le sentiment de l’amour à ce bœuf de guerre. Séduis, réconforté, Azgar repris le goût de son devoir, l’amour l’avait guérie de ces tourments, il était devenu amoureux mais coincé. Cette femelle était bien la femme du général, plus précisément sa dixième… Azgar jura qu’il tuera Tran’kork pour la délivré de son emprise et ainsi vivre leur amour pleinement.

Nos amoureux, se voyant en cachette dans le fond de la mine, s’adonnai tout les soirs à de douce caresse, de parole douce… Le coup foudre certain dirai… Puis vint la dernière nuit, Tran’Kork était parti en mission laissant sa demeure vide, mais pas pour nos deux tourtereaux. La nuit semblai plutôt froide avant que nos deux amoureux laisse leurs corps se réchauffé, à la lumière des chandelles. Sur la table du conseil de guerre, ils s’adonnaient au plaisir ultime, le nirvana… Après cette nuit pleine de rebondissement, Azgar compris qu’il lui faudrait tuer au plus vite Tran’kork. Cela ne tarda pas, l’arrogance de Tran’kork était une bonne raison pour utilisé l’arme secrète que Fratricide lui avait fourni, un poison mortelle… Tran’kork n’a pas mit longtemps à mourir, dans d’atroce souffrance. Azgar fier de lui, mais prit par le temps ne put aller porté la bonne nouvelle à son âme sœur. Les problèmes que le Général Tran’kork avait causé avec le peuple Mortanyss demandait du temps à Azgar. Mais tout cela avait donné un moment opportun à Azgar, utilisé les actions du Général Tran’kork contre les mortanyss à ces fins.

Rattrapé par le temps, Firkorz l’assassin du général avait du parlé de cette liaison au haut placé du Cercle Chamanique, Rek’thar. C’est alors que Fratricide, grand Protecteur du Cercle Chamanique, vint voir Azgar pour lui ordonné de tuer cette femme… Azgar ne pouvais aller contre un ordre de Rek’thar, impossible, ce que Rek’thar voulait, Narshoul le voulait. Alors il prit sa hache puis alla à la rencontre de son amour. Folle de joie voyant son héros arrivé, elle voulu lui sauté dans les bras, mais Azgar ne laissa cela arrivé, d’un violent geste il poussa la femme à terre, détournant le regard d’un air honteux et triste. Celle ne comprenait ce qui ce passai, prise d’une panique, voyant Azgar saisir fermement sa hache, elle essayer de lui parlé. Celle ci lui avoua même qu’elle était enceinte de lui, mais Azgar savait que s’il parlait, il ne pourrait accomplir sa mission. Alors dans une dernière parole, les larmes coulant de ces yeux, il lui dit :
« Désolé… Tu dois mourir, pardonne moi»
Puis il trancha la femme en deux et porta le corps jusqu'à la rivière pour y jeté le corps. Azgar venait de tuer son amour en lequel il croyait et de plus son fils… Deux créations de Narshoul, mais les ordres étaient les ordres…

Un amour à la gorlak, une histoire qui se commence dans le sang et qui se termine dans le sang.

Cette action donna à Azgar le titre de Grand protecteur Chamanique, il avait prouvé sa détermination au Cercle Chamanique.
Après la mort du Général Tran’kork l’armée se retrouva sans dessus dessous et Azgar ne pouvait laissé la horde tombé. Le moral tombait au plus bas, l’attaque de la tri-alliance avait fait mal au peuple Gorlaks, sa fierté en avait pris un coup. Alors Azgar tout en gardant son rôle de Grand protecteur Chamanique, pris le commandement des armées pour motivé les troupes mais cela attirait déjà la jalousie de bien nombre de Gorlak. Créant de certaines tension et discussion, ceux qui étaient avec Azgar et ceux qui étaient contre lui. Le temps passait, Azgar organisait des raides sur le territoire Nalkiri collectionnant les victoires, tentait des actions contre les caravanes Keijans. Malgré l’arrivé d’un nouveau général les gorlaks semblait toujours aussi démotivé, provoquant certains désordre allant jusqu’à défier l’autorité du Cercle Chamanique qui lui aussi commençait à se porté de plus en plus mal. Mais Azgar veillait comme auparavant à l’équilibre, le respect, mais certains voyaient Azgar comme un obstacle au pouvoir. Des Gorlaks avide de pouvoirs, de gloire, de richesse dont le plus dangereux, Targrak Ursh. Celui ci allant jusqu’à déposé un rapport faussé et construit de toute pièce pour renversé Azgar de son poste. Azgar pouvait prouvé sans aucune anicroche l’ironie d’un telle rapport et avait à c’est côté bien de soutient que l’on ne le pensait.

Alors que Azgar expliquai à un apprenti Chaman la réalité des faits, un souffle glacial vint ouvrir les portes de la pièce provoquant un certain étonnement. Le Seigneur Rek’thar appelait Azgar… Les discussions ce sont engagé entre le Seigneur et l’esclave, devenant de plus en plus insupportable pour Azgar.
La discussion avec le Seigneur Rek'thar avait déjà changé de tons plusieurs fois, passant de la soumission à la question, de la question à l’incompréhension, de l’incompréhension à la rage. Azgar avait déjà demandé plus d’une fois à Rek’thar de lui donné la mort puisqu’il l’avait tellement déçu. Mais Rek’thar n’avait pas conscience à quel point ces paroles pourraient affecté Azgar. Lui reproché des faits qu’il n’avait pas commit n’était pas des plus approprié dans l’état ou il était. Azgar dans un sentiment d’incompréhension parti sans même prendre la peine de le saluer, partant sur un ton enragé il ne laissa pas le seigneur terminé sa phrase. Sorti du temple les yeux rouge d’un dragon, les veines gonflés au maximum, Azgar allait cherché une ration pour partir loin de tout ce que l’on lui reprochait. Sorti de la taverne alors que la sorti de Luk’maar pointait au regard le Général de la horde croisa le chemin de Azgar. Azgar fou, enragé, incontrôlable, demanda au général de s’écarté de son chemin, celui ci refusa, après avoir insisté, Azgar le cœur en feu, poussa le général à coup de lame puis continuant sa route lentement sans regardé en arrière alors qu’un nuage de guerrier était à ces trousses. Mais qui voulais vraiment arrêté Azgar ? Après tout il aurait put tuer n’importe qui, il venait d’attaqué le général, qui savait de quoi il était capable. Après avoir parcouru quelques kilomètres, il entendait déjà le Cor sonné à plein souffle, sonnant la chasse à l’homme. Cela mit en éveil une pensé, passé son temps à être poursuivie de cadavre ? Tuer ces frères ignorant ? A quoi bon…

Azgar fit demi tour pour se rendre, passant la palissade les mains en l’air, tendant ses mains au premier gorlak venu. Attaché, conduit en cellule, suivit d’une foule qui ne comprenait pas, Azgar marchait la tête haute. Déposé en cellule avec un certain ménagement, vidé de tout c’est bien mais non de sa ferveur Azgar demandait à ce que l’on le laisse seul. Après une légère discussion avec son ancien apprenti, celui ci mit fin à ces jours à l’aide des pouvoirs que Narshoul lui avait donné, sous les yeux impuissant de son apprenti.
Il ne restai plus qu’un cadavre dans la cellule, celui d’un gorlak sans nom, Azgar n’avait jamais vraiment existé, lui même le savait, se nom devenu presque incontournable n’était qu’une carte d’identité…

Azgar allait affronté le jugement dernier, Kalos se frottait déjà les mains de pouvoir convoité l’âme du Gorlak le plus craint des landes de Teilia.

Quelques jours après la mort du fougueux Grand Gardien, l’on pouvait lire quelques mots écrits sur un vieux parchemin devenu jaune avec le temps. Il était roulé, placé entre quelques livres de la bibliothèque. Il était là, inconnu de tous, ne servant rien de plus qu’à décorer les étagères dominées par les araignées et leurs vilaines toiles. Un simple coup de vent aurait été assez pour détruire ce parchemin dont les dégâts du temps sont comparables à la fragilité des os de ce vieux Trolwarnok. Mais, si quelqu’un osait le dérouler, avec soin et précaution, à l’intérieur, il allait y trouver des mots exprimant tout autre chose que la faiblesse et la fragilité. Des mots fermes, écrits par un esprit fort, doué d’une intelligence lumineuse…


« Un vieux parchemin, pour un vieux corps qui aujourd’hui pourris, suivant le rythme que lui imposera le sablier. Des mots sûrs, qui expriment toute la force d’un esprit. Qui c’est ce qui est arrivé avant qu’Azgar fulmine de colère devant le Général ? Aucun Gorlak ne peut témoigner, car, ces échanges de paroles ont été faites entre Azgar et le Seigneur Rek’thar (Oui, j’ai sentit que c’était lui, mais je n’ai pu entendre). Des paroles, qui, comme le dernier souffle du guerrier, se sont dissipées dans l’air, insaisissables, comme l’eau qui nous glisse entre les doigts. Peu importe les mots, ce que nous avons vu, c’est un guerrier fort et fier, qui a voué sa vie à protéger des principes souvent inconnus ou ignoré par les plus faibles. La foi a donné à se guerrier le bras le plus fort, et l’épée la plus sèche de son temps. Mais nous avons aussi connu un guerrier en imperturbable recherche, cherchant son chemin dans la voie tracé par le Sombre, se rapprochant plus que quiconque du réel but. Ainsi, a-t-il faillit à la tâches ? Si tel est le cas, sa faillite est déjà bien plus grande que les exploits de n’importe qui. Et s’il avait accumulé de nombreux ennemis, aucun ne pus le terrassé car en effet, si aujourd’hui sont corps est inerte c’est bien car il c’est lui-même anéantit. Anéantit par sa propre colère, une colère qui le conduit à la ruine et à la destruction comme le ferait une bombe ou une boule de feu. Ça vie fut elle aussi grande que celle de Saint-Kuritor ? Bien sûr que non. Mais, il est le seul dont on peu dire, sans crainte de s’égarer, qu’il a réussit à marcher dans ses pas, le suivant fidèlement, comme le fait l’ombre, peu importe les épreuves et les obstacles.

Dans sa mort, il a finalement réussit à gagner un respect total. Maintenant que son corps s’appauvris, son âme, elle, devra suivre un chemin, le dernier ? Qui c’est les choix qui seront pris. Mais de tout évidence, s’il ne revient pas, la nuit nous pourrons lever la tête fièrement, afin d’observer la nouvelles étoile qui apparaitra, pour nous guider tous et nous rappeler des temps meilleurs.

Les Guerriers du Mortulum n’ont qu’à bien se tenir, car si c’est le cas, ils auront bientôt un frère d’arme qui, ô combien mieux qu’eux, c’est manier le fer et faire couler le sang… »



[Bravo pour tes textes, remarquable]