Shaga Gorlake
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Date d'inscription : 15/11/2009
 | | Sujet: dans le temple à l'abrit des regards Sam 15 Mai - 22:22 | |
| (au depart le titre du rp était significatif)
Dernière édition par Shaga Gorlake le Dim 16 Mai - 7:39, édité 2 fois | |
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Krusk Karnuk
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Date d'inscription : 05/02/2009
| | Sujet: Re: dans le temple à l'abrit des regards Dim 16 Mai - 6:31 | |
| Musique d'ambiance: https://www.youtube.com/watch?v=zvoeeq-BH4wPendant ce temps, à Kurgh, une orgie est organisée: le mot d'ordre est de se reproduire, faire des bébés, afin de célébrer le règne du tout nouveau Chef. Le tout se passe sous les chants exaltants des shamans du Grand flot, qui résonnent comme autant de cris bestiaux, ainsi que sous le grondement féroce des tambours gorlaks. D'innocentes victimes prises chez les Hastanes, les Daelwenas et les Nébulix sont attachées à des poteaux disposés ici et là. Tout un chacun se plaît à les écorcher, à les démembrer, à les torturer et aussi, mais surtout, à répandre leur sang, dont tous les Gorlaks présents semblent couverts. On se repait de leur chaire sous leurs yeux exorbités et l'on boit leur sang à grandes gorgées.
La foule de Gorlaks assemblée là est en liesse, au prise avec une ivresse qui dépasse l'entendement et se vautrant dans une luxure innommable. Partout on hurle, partout on rit, on danse, on tue et on copule.
Il en est un, cependant, qui ressort du lot... Il est calme, trop calme....
À ses pieds git une petite chose très légèrement vêtue, il s'agit d'une Kardare. S'il est vrai que tous sont recouverts d'éclaboussures de sang, celui-ci se distingue des autres du fait que toute, toute, toute sa peau semble imprégnée du fluide vitale. En effet, le Gorlak à la peau rouge de la tête aux pieds. Il ne semble ni très vieux, ni très jeune, et a de profondes cernes noires sous les yeux, qu'il a rouge, et brillant dans le noir. Une crête noire hérissée orne sa tête aux faciès couturé de cicatrice. Il se lève, il n'a pour seul vêtement qu'un léger kilt noir et exhibe une musculature absolument phénoménale. Il tient en ses mains un marteau énorme, platiné par l'usage et souillé de sang séché. Il écarte les bras du corps et rugit:- QUE L'ON M'AMÈNE ARÈS ET SA FEMELLE!! Puis il éclate d'un rire démentiel, et la fête continue ainsi jusqu'aux aurores... (Edit: Lache pas! ;)) | |
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