Une nouvelle image pour un nouveau nom.
C’était une soirée douce, calme comme la légère brume qui parcoure les prairies d’hastanie. Les feux des brasiers de Luk’maar élevaient une lueur rougeâtre au dessus de Luk’maar. Quelques rirent venaient troublé le silence, la bière devait coulé à flot. Quand soudain le Cor du temple retenti de toute sa puissance à travers le territoire Gorlak. Une cérémonie était annoncé, un adoubement Gorlak pour les plus instruits. Azgar Grand Protecteur de l’ordre Chamanique allait entré dans le cercle de l’élite, l’ordre des Gardiens. Rare était les gorlaks parvenu à telle prestige. Le seul connu à ce jour était Fratricide, le guerrier charismatique, le souffle de la mort, la sagesse d’un crocodile et le calme d’un félin. Fratricide quel nom étrange, surtout quand l’on connaît la définition de ce mot.
Cela faisait bien une éternité que l’on avait pas assisté à telle adoubement dans le temple et pour cause le dernier en date était Fratricide. C’est aussi la raison pour laquelle il c’était charger d’une telle cérémonie. Alors que Fratricide ce lançait dans un discours gargantuesque, les yeux de Azgar s’emplissait de fierté, d’honneur alors que certains était prit d’admiration, les habituels pessimiste n’exprimaient guère d’émotion. C’est alors que Fratricide, tirant sa lame légendaire de son fourreau orné de parure d’or, de pierres précieuses, pris une voix solennel, déposant sa lame successivement sur les épaules de Azgar puis sur le dessus de sa tête dit :
« Je te fais Maitre des Gardiens de l’ordre des Gardiens de Luk’maar »
Mais la coutume voulait aussi, que celui qui accédait à telle rang perdait le nom qu’il portait depuis toujours. Il devait prendre comme nom un résumé d’un passage de sa vie, ainsi le nom de Fratricide s’expliquai, celui qui avait tuer ses frères. Mais quand était t’il de cruel ? Malgré le faite que l’histoire avait été étouffer certains était au courant…
« Extrait du Mémorial d’Azgar »
Tout le monde connaissaient Azgar comme un être insensible, un cœur de pierre, infaillible… Mais en réalité il en était bien tout autre. L’histoire débuta dans le sang, c’était alors un début de soirée bien frais, les gorlaks comme à leurs habitudes croissaient le fer à l’arène, sous les yeux attentif du général Tran’kork. C’est alors que Azgar vint à l’arène comme à son habitude pour veillés sur ces frères. Ce qui aurai dû être une surprise certaine pour n’importe quel membre du cercle chamanique ne l’était pas pour Azgar, Tran’kork le général des armées était vêtue d’une armure faite de minerai… encore un affront au père sombre, une habitude pour ce général complètement hérétique. Bien sur Azgar ne pouvais laissé cela ainsi, il fallait punir le général. Azgar arme en main ce jeta sur le général, mais une fois de plus les tactiques sournoise telle que le poison était de mise chez ce général. Le poison ne mit pas bien longtemps avant de déclenché un arrêt cardiaque sur le gorlak, privé de son énergie il ne puis que s’écroulé sur le sol, devant la moitié de la horde. Pauvre protecteur, une fois de plus, sans que cela ne deviennent coutume, il fut humilié devant toute la horde.
Azgar, fortement tourmenté, accablé de sa défaite alla trouvé refuge au temple, tentant de comprendre pourquoi un gorlak défiant les lois du Sombre Narshoul pouvais gagné face à lui. Perdu, le doute le prenait, est ce que le Husak était une réalité ? Ou simplement un appâts ? Pourquoi un fidèle serai t’il vaincu contre un infidèle ? Bien trop de question qui restait sans réponse… Malgré les réponses que le chaman Larhkor apportai au protecteur tourmenté, cela ne venait pas à le sortir du doute. Qu’elle ennemie ? Pourquoi ? Pourquoi servir Narshoul ? Quelle voix avait t’il embrassé quand il devint protecteur ? Même le Grand Protecteur Fratricide ne parvint à effacé ce doute. Il avait perdu son amour en Narshoul. Faisant mine d’être d’accord, Azgar parti du temple pour se prendre d’ivresse à la taverne. Complètement ivre mort, la bouteille de rhum à la main, Azgar marchai dans les rues de Luk’Maar, ou plutôt se traînai de tas de boue en tas de boue, émettant sans cesse des âneries. Jusqu'à ce que la lueur de Luk’maar vint se posé sur lui, la beauté, le rêve, Tokah, la femelle du général…Tout le monde la voulait, pendant ces classes militaire tout le monde ne pouvaient retenir ces ardeurs avec cette femme, cette femme au forme généreuse, au sourire charmeur… Cette femme que Azgar avait ramené de l’autre bout des terres pour ne pas la laissé à son triste sort. Elle était devant lui, tendant la main avec son sourire de lune, ces yeux à la lueur des étoiles et son parfum des roses. Ivre mort, plein de boue, les yeux emplies de larme, la blanche colombe et le crapaud… Celle ci déterminé à le comprendre, à le consolé, ne mit pas bien longtemps pour prendre le gorlak ivre, de force pour le porté dans une chambre de la taverne. Attendant sagement que celui ci reprenne goût à la sobriété, elle le nettoyai, le changeai. Puis s’en suivit une longue discussion, ou la tendre, le douce fit connaître le sentiment de l’amour à ce bœuf de guerre. Séduis, réconforté, Azgar repris le goût de son devoir, l’amour l’avait guérie de ces tourments, il était devenu amoureux mais coincé. Cette femelle était bien la femme du général, plus précisément sa dixième… Azgar jura qu’il tuera Tran’kork pour la délivré de son emprise et ainsi vivre leur amour pleinement.
Nos amoureux, se voyant en cachette dans le fond de la mine, s’adonnai tout les soirs à de douce caresse, de parole douce… Le coup foudre certain dirai… Puis vint la dernière nuit, Tran’Kork était parti en mission laissant sa demeure vide, mais pas pour nos deux tourtereaux. La nuit semblai plutôt froide avant que nos deux amoureux laisse leurs corps se réchauffé, à la lumière des chandelles. Sur la table du conseil de guerre, ils s’adonnaient au plaisir ultime, le nirvana… Après cette nuit pleine de rebondissement, Azgar compris qu’il lui faudrait tuer au plus vite Tran’kork. Cela ne tarda pas, l’arrogance de Tran’kork était une bonne raison pour utilisé l’arme secrète que Fratricide lui avait fourni, un poison mortelle… Tran’kork n’a pas mit longtemps à mourir, dans d’atroce souffrance. Azgar fier de lui, mais prit par le temps ne put aller porté la bonne nouvelle à son âme sœur. Les problèmes que le Général Tran’kork avait causé avec le peuple Mortanyss demandait du temps à Azgar. Mais tout cela avait donné un moment opportun à Azgar, utilisé les actions du Général Tran’kork contre les mortanyss à ces fins.
Rattrapé par le temps, Firkorz l’assassin du général avait du parlé de cette liaison au haut placé du Cercle Chamanique, Rek’thar. C’est alors que Fratricide, grand Protecteur du Cercle Chamanique, vint voir Azgar pour lui ordonné de tuer cette femme… Azgar ne pouvais aller contre un ordre de Rek’thar, impossible, ce que Rek’thar voulait, Narshoul le voulait. Alors il prit sa hache puis alla à la rencontre de son amour. Folle de joie voyant son héros arrivé, elle voulu lui sauté dans les bras, mais Azgar ne laissa cela arrivé, d’un violent geste il poussa la femme à terre, détournant le regard d’un air honteux et triste. Celle ne comprenait ce qui ce passai, prise d’une panique, voyant Azgar saisir fermement sa hache, elle essayer de lui parlé. Celle ci lui avoua même qu’elle était enceinte de lui, mais Azgar savait que s’il parlait, il ne pourrait accomplir sa mission. Alors dans une dernière parole, les larmes coulant de ces yeux, il lui dit :
« Désolé… Tu dois mourir, pardonne moi»
Puis il trancha la femme en deux et porta le corps jusqu'à la rivière pour y jeté le corps. Azgar venait de tuer son amour en lequel il croyait et de plus son fils… Deux créations de Narshoul, mais les ordres étaient les ordres…
Il avait trahi, la seul qui l’aurait aimé, faisant ainsi un acte de cruauté sans comparaissons. Il fallait en tiré leçon.
Qu’importe la manière Azgar suivrait toujours le chemin du Sombre.