Durant une nuit orageuse, un jeune Gorlak naquît dans une forêt dans les environ de Luk'Maar. Les parents, Gark’khma Ghûrk et Whekta Krâm, venait de donner naissance au jeune Bâh’rruk. Les années passèrent et Bâh’rruk venait d’atteindre l’âge adulte. Le Gorlak mesurait environ 6 pieds et 2, doté d’un physique imposant, plusieurs cicatrices parsemaient son visage, ses canines, comme plusieurs Gorlaks, sont plutôt prononcées vers l’avant. Jamais il n’abandonne son gourdin, qui est toujours accrochés à son dos.
Lors de sa jeunesse, Bâh’rruk fût élever dans l’art de la guerre par son père qui était un guerrier hors du commun au sein du peuple Gorlak. Il lui apprit à combattre avec plusieurs types d’armes, mais ce qui attira le plus son attention était une massue. Elle était grosse, faite en bois. Elle fût faite par l’un des artisans de son village et il la garda tout au long de son entraînement et plus longtemps encore.
Un jour, alors qu’il était partit chasser avec son père, tous les deux eurent une mauvaise surprise en revenant au village. Celui-ci était incendié, des dizaines de corps de ses confrères jonchaient le sol. Ils se précipitèrent tout deux pour tenter de trouver des survivants, mais il semblait que nul n’avait survécu à ce qui avait attaqué le village. Ils préférèrent ne pas rester aux abords du village, au cas où les assaillants reviendraient. Ils partirent alors dans les bois pendant plusieurs jours, se nourrissant des animaux qu’ils croisaient sur leur route.
Un soir, alors que le ciel était complètement dégagé et que le calme régnait dans les bois, un bruit attira leur attention. C’était comme une plainte qui venait d’environ une dizaine de mètres d’eux. Son père se leva et Bâh’rruk le suivit aussitôt, tenant sa massue entre ses mains. Ils avancèrent, la plainte était de plus en plus forte, puis, ils cessèrent d’avancer lorsqu’ils furent devant un buisson. Ils tassèrent les branches et trouvèrent un Gorlak agonisant couché sur le sol. Il était ensanglanté et tenait une lettre dans ses mains…
-Tuner et lire…
Puis sa respiration cessa. Bâh’rruk et son père ouvrirent la lettre, puis y lurent ce qui y était inscrit, assez maladroitement.
Nous, les survuvants Gurlak, summes partit vers Luk’Maar, un vullage douba très loin du nutre. Beaucoup de nos frures son murt au combat cuntre les assaillants et le rste d’untre nous est en route. En espurant qu’un Gurlak trouvera cutte lettre et puisse trouver d’utre survuvants…
À la suite de cette lettre, Bâh’rruk et son père se dirigèrent vers Luk’Maar, dans l’espoir de retrouver les survivants de sa tribu…
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