Attaque sur KurgH? Prenons notre revanche !

La soirée s'annonçait plutôt calme pour les Gorlaks qui se trouvait dans le campement. Encore une autre soirée banale pour Khrack, Grazburk et Bâh'rruk. Les Gorlaks étaient assis autour du feu à discuter de tout et de rien; du bon temps de Luk'Maar, des alliances avec les autres peuples, du départ du nouveau Chef de Guerre et d'éventuelles attaques pour reprendre leur si précieuse cité. Bref, la soirée était beaucoup trop calme pour trois guerriers Gorlaks. Discuter, ce n'est pas pour eux !

Mais, leur calme soirée fut brusquement interrompue par le son d'un cor, un cor qui semblait être à l'Ouest de Kurgh. Les trois Gorlaks bondirent sur leurs jambes, totu en se tenant prêt à tout ce qui pouvait arriver par cette soirée. Ils s'armèrent, s'armurèrent et concentrèrent le peu d'esprit qu'ils avaient sur les risques d'une éventuelle baston, chose qui allait probablement arriver dans tous les cas. Les trois comparses se dirigèrent donc dans la direction du bruit du cor, pour finalement tomber sur un Morgalin, seul, au milieu de la plaine. Les Morgalins sont stupides, mais, venir s'en prendre seul aux Gorlaks, c'est le comble de la stupidité ! Surtout avec les recommandations qu'ils allaient oser demander...

Donnez-nous vos terres ! tonna le Morgalin.

Les trois Gorlaks s'observèrent avant de laisser s'échapper d'énormes rires.

Te donner nos terres? dirent-ils. Alors, vient les chercher, si tu les veux!.

À ce moment, le Morgalin appela ses confrères, qui accourèrent aussi rapidement qu'une meute de loup sur un petit lièvre. Les troupes déferlaient sur la plaine pour s'en prendre aux trois Gorlaks. Armés de leur force brute et de leur foi envers le Grand Flot, les trois Gorlaks restèrent campés sur la plaine, prêt à repousser les troupes morgalines. Le combat faisait rage; des dizaines de Morgalins, gros comme petit, tombaient sous les coups des trois Gorlaks qui ne désiraient pas les laisser s'approcher de Kurgh. Ils scandaient leur foi envers le Grand Flot à chacune de ces vermines qui trouvaient le repos éternel au milieu de la bagarre. Une bonne vieille bagarre que les Gorlaks n'oublieraient probablement pas de si tôt !

Après un long moment, les troupes morgalines avaient enfin été décimées, ne laissant qu'une amoncèlement de cadavres au milieu de la plaine qui ne tarderaient pas à attirer les charognards de la forêt ambiante. Néanmoins, les Gorlaks se questionnèrent sur le but de cette attaque suicidaire de la part des Morgalins. Peut-être désireraient-ils les attaquer de nouveau? Les Gorlaks entrepriremt donc une petite escapade qui leur ferait réfléchir à leurs gestes la prochaine fois ! Encore dans la frénésie du combat, les trois guerriers se dirigèrent vers leur campement où ils firent un second carnage. Les Morgalins, paniqués, couraient dans tous les sens alors que les guerriers déchiquetaient tous ceux qui se trouvaient sous la lame de leurs armes. Un combat, bien que plus aisé, faisait rage avec une violence pareil au premier. Ils remarquèrent, rapidement, que les Morgalins décidaient de rester cloîtrer au fond de leur campement, de peur de mourrir sous les coups des trois brutes.

Mais, était-ce suffisant pour les empêcher de revenir? Non. Les Gorlaks s'emparèrent de torches et les embrasèrent dans les cendres encore chaudes des feux de camps Morgalins, question de faire un.. Plus gros feu de camps. Muraille, huttes, maisons. Le feu se régalait de tout. Les flammes étaient démentes et se baladaient allègrement sur les piles de foins et de branches sèches que les Morgalins laissaient toujours traîner. Après un bon moment, une fumée noire pouvait être vue s,élevant dans le ciel des Landes, preuve que les Gorlaks avaient fait un autre succès.

Les trois comparses se dirigèrent un peu plus loin, hors du campement, question de pouvoir observer le chef d'oeuvre qu'ils avaient sût si bien faire. L'art de la guerre étaient effectivement ce que les Gorlaks pratiquaient le mieux.

Nombre de messages : 14 Date d'inscription : 24/02/2009

Trois corbeaux passèrent au dessu de sa tête en lançant de puissant croassement. C'était là un avertissement, ou plutot une invitation a les suivre en leur direction, la meme direction où l'on pouvait appercevoir au loin de la fumé s'élever du campement Morgalin. Tout laissait présager qu'une bataille avait eu lieu. Qui dit bataille dit cadavre. Et qui dit cadavres dit forcément pillages.
C'était bel et bien son jour de chance, arrivé sur les lieu elle se hâta, folle d'exitation, a faire les poches des cadavres, couper les doigts sur lesquel il y avais des anneaux. Elle s'empara sans vergogne de tout ce qui était assez petit pour etre emporter et ayant assez de valeur pour etre revendu.

Mais soudainement les corbeau s'affolèrent, allant ce jucher sur les plus haut mur, hors d'atteinte. Un attroupement de guerrier Morgalin venait vers eux, il était temps de déguerpir.
Dans ça fuite elle passa pres du campement Gorlak, lequel semblait plutot festif. En effet les Gorlak était bel et bien les auteur du massacre morgalin et ils s'étaient réunnit au campement pour célébrer le don qu'ils venaient d'offrir au Grand flot.
Sa curiositée maladive la mena a ce faufiller subtilement dans l'enceinte du camp afin d'écouter la conversation.
Il y avait déja quelque année qu'elle avait tissé des lien avec certain Gorlak mais depuis l'arrivé de Kartrack, l'organisation n'était plus la même, leur mentalitée semblait divisé celon les groupes, et tout cela jouais sur leur humeur. Les gorlak était maintenant plus imprévisible qu'autrefois et comme elle ne les avaient pas vu depuis déja belle lurette elle redoutait qu'on la considère comme une menace.

Hance c'était caché derriere une courte barricade de pieux, bien voilé par la noiceur de la nuit. Elle écoutait la conversation entre un Nargolith et trois Gorlak taché de sang de la tête au pied. Elle reconnaissait l'un d'eux comme étant Bâh'rukk le Borgne, mais cela n'était pas assez pour ce permettre de se montrer.
--- In Lor Prononça soudainement le Nargolith alors que le Borgne s'empressa de ce voiler les yeux, aveuglé par la soudaine clareté. Il envoya un juron et dès lors qu'il retira ça main de ses yeux, son regard croisa celui de Virlance. Mais elle ne bougea pas sur le moment, le gorlak devait forcément regarder au dessu d'elle, mais a mesure qu'il s'avancait plus elle réalisa qu'elle avait été repéré !
La dernière fois qu'elle avait été repéré par des gorlak, cela lui avait couté des mois de sa vie attaché au sommet d'une tour. Voila en quoi les gorlaks pouvaient être imprévisibles. Elle partit en trombe vers les fourrées, s'accroupis dans un trou et empoigna rapidement son arc. Elle les entendaient qui était tout près et lançaient des menaces. Son arc en jout, elle était prete a abattre le premier venu, bien qu'elle n'en avait pas vraiment envi, considérant que ça lui apporterait bien plus de problème qu'elle en avait déja.
--- Montre toi !! Et peut être épargnera t'on ta vie ! Cria Bâh'rukk. Mieu vallait-il l'écouter, de toute façon les Gorlaks avait déja étanché leur soif de sang en cette soirée. Elle se releva lentement, dévoilant alors sa menue et sombre silhouette au travers des hautes herbes. Aussitot ils s'approchèrent férocement, alors elle ne tarda pas a leur dévoiler qu'elle était armé, et que tel faire face a un cobra, peut etre serait-il plus sage de garder ses distances. Son arme pointé vers le torse nu de Grazburk, celui ci s'arreta nettement et les autre firent de même.
--- Qui es tu ?!
--- Oh, mais l'on sé connait déja, lé borrrgne. Lorsque tous semblait s'etre un peu calmé elle abaissa ça garde et accepta de sortir des fourrés
---Hance ?! S'fait longtemps qu'on t'as pas vu dans le coin. Dit-il d'une pointe d'étonnement. C'est une Mussa. Confirma-til alors au deux autres. Soulagée était-elle !
--- Jé passait parrr Tyrrimar quant alorrs j'ai été attiré ici parr la foumé dou camp Morrgalin, d'ailleur jé doit dire que c'est oune joli carrnage qué vous avez fait, lé grand flot se voit rassasié pour les semaines a venirr hmm ! Un bref compliment sur leur bataille, une référence au grand flot et voila que la confiance était déja regagné. On l'invita au campement là ou Khrack et Grazburk allèrent se reposer, laissant seul a seul les deux allier d'ancienne date.
Hance s'approcha de la chaude braise du feu de camp, au dessu de laquelle reposait un chaudron a moitier plein d'une sorrte de ragout de cadavre. Elle avait toujours aimé la cuisine Gorlak, riche en protéine.
--- Ça ne t'embète pas que je mange hmm ? J'ai terriblement faim. A peine le demandait-elle qu'elle se servait déja. Visiblement le borgne n'en avait rien a battre.
Vrrament, c'est ploutot étonnant que tou m'est apperçu d'ici. Elle regardait vers son ancienne cachette et ne comprennait pas comment il avait bien pu remarquer sa présence dans cette noiceur.
--- Sans le sort de vision du Gorgolith, je t'aurais sans doute pas remarqué.
--- Le Gorgoquoi ?
--- Le Nargolith qui vit parmit nous, je l'ai renommé ainsi.
--- Aaahh, le chat errant ! Envoya t'elle la bouche pleine avant d'en rire un peu. Elle avala et continua. Il fait pitier le pauvrre, déja possède t'il des centaines d'année existence et il décide de les passer a préparer dou poisson pour vos péon. ha ha ! Puis elle releva la tête en direction de Bâh'rukk, afin de s'assurer que sa petite rigolade cynique n'ait pas trop mal passé.
--- Hrrm.. Le gros Gorlak épuisé de sa journée semblait se demander s'il devait rire ou non, alors qu'elle n'hésitait pas a continuer
--- Un chat errant prennant refuge dans une meute sans chef ! Et là c'était plutot un faible rire jaune de la part du guerrier. Il était temps d'arreter la plaisanterie, visiblement il n'avait pas le sens de l'humour en cette soirée. Elle essuya ses mains grasses sur ses vêtements et se releva, pour reprendre plus sérieusement en le regardant dans les yeux de son regard dilater et creusé de cerne par l'effet de Styraline.
--- Qu'est ce que tou attend pour prrrendre le contrrrole de la meute ?
--- Il faudrait attendre la mélé.. mais cela risque d'etre long. Tu as raison il nous faut un chef maintenant.
--- Et bian, prrroclame toi chef ! Et que celoui a qui ça déplaira te mettra au défi de prendre ta place, c'est ainsi que ça fonctionne dans oune meute.
Il avait l'étoffe d'un chef et elle le savait, sans compter que d'avoir le chef de meute dans ces allier n'était pas a négliger. Le gorlak semblait déja s'emballer a l'idée de prendre le controle, et elle avait confiance qu'il le ferait
--- Ce soirr un nouveau chef vien de voir le jourrrr au sein de la meute, les landes l'entendrront ! Au rrrevoir Bâh'roukk chef de la meute, nous nous rrreverrons bian assez tot.
Puis Hance la ratoureuse repartit au déla de l'horizon, faire courrir la rumeur du nouveau Chef.