Cheminement d'Urg

Urg croisa Louen lorsqu'il allait récolter quelques informations chez ses espions. Après, quelques paroles Urg s'intéressait de plus en plus a se droit personnage, ses espions pourraient bien attendre. Quand Louen lui demanda quelque chose dont même lui ne s'attendait pas : son aide. Etrange se disait il. Il n'avait que paroler rarement aux Hastanes, avant se moment il n'avait donner grande penser aux convictions des infidèles, il s'était contenter de les abattre. Il y avait quelque chose par contre dans les paroles de Louen qui rejoignait ses pensées. Il accepta sa demande d'aide et s'empressa d'aller lui querir une lame digne d'un Roi. Quand il revint Louen était déjà en train de confronter son détenteur. Il lui glissa la lame et tira son arc. Il ne fallu que quelques tires pour venir a bout de la créature. Il escorta le Roi a la sortie de Mortancia et se dernier lui affirma qu'Urg était désormais son aspellor. Ils faisaient sûrement l'histoire.

Urg était de plus en plus malade, il en connaissait la cause : La Sombralise, mais, n'arrivait pas a en saisir l'origine. Il fouillait donc ses bibliothèques remplient de livres sur le culte du très sombre qu'il n'avait jamais même ouvert, de simples décorations jusqu'à maintenant. Il allait désespérer lorsqu'il l'a trouva enfin : La bible de Narshoul, les saints écrits. Il l'a fouilla a la hâte tentant d'y trouver quelque chose qui pourrait bien l'aider dans sa fâcheuse situation. Il relie les commandements bien familier, mais n'y trouva aucune réponse. Se laissant tomber dans son trône, il soupira. Il avait la ferme conviction que Narshoul avait les réponses, mais qu'il ne voyait pas assez clair. Quand soudain, une voix lui chuchota : "Tu n'as pas de famille, la horde est ta seule famille. Œuvre pour elle". Il s'endormit des que la phrase fut dites, et se réveilla le lendemain en bien meilleur état. Une chose était sur pour Urg : il avait négliger Luk'Maar pour ses plairais personnels, il allait se remettre a servir sa famille. Cet évènement avait aussi eu pour conséquence de réveiller son intérêt pour Narshoul, peut être l'avait il négliger tout se temps.

Urg faisait une habituelle ronde de la citer. Quand soudainement, une dague se posa sous sa gorge. Son interlocutrice l'avait bien avertie de ne pas faire de mouvement brusques, il se laissait donc mollement faire. Elle le traîna près du rempart et lui chuchota qu'Urg avait un contrat sur sa tete chez les Nalkiris et que l'or promis l'intéressait bien. Elle lui aurait probablement laisser la vie sauve si il aurait proposer plus que le Nalkiri pour sa vie, mais Urg n'avait pas tant d'or lui disant qu'il n'était pas cupide comme elle. Et puis d'un coup la mort l'emporta. Urg se sentait tout d'un coup, très bien. Le doux repos tant mériter se disait il. C'est alors que le même murmure vint lui souffler : "Méfies toi toujours de ce que tu ne vois pas, vois mais ne regarde pas.". Puis, après ses courtes paroles, Urg était étrangement de nouveau dans le monde de Teilia, vacillant vers ses quartiers il laissait derrière lui un simple corps inerte sans tête.

Urg avait rencontrer Wurzog plus tôt cette journée, avouant que la plupart des Gorlaks doutait de son droit a son titre et même de sa foie au très Sombre. Il lui donna quelques conseils pour remédier a la situation. Premièrement se défaire de son rang d'ambassadeur affirmant que les Gorlaks prenant part dans ses activités n'auraient jamais respect, il accepta. Ensuite, il lui conseilla de rejoindre les rangs militaires pour regagner son prestige perdu bien qu'Urg n'était pas des plus enthousiasme il accepta a nouveau. Puis, il lui affirma qu'il devrait probablement quitter sa femme vue ses origines douteuses. Wurzog avait toucher un point sensible pour Urg, il partageait une affection particulière pour la Nalkiri étant lui même incapable de l'expliquer. Il rentra chez lui, plutôt bouleverser, devait il repousser son attachement a Segnah pour retrouver son respect d'antan ? Non... non, sa ne réglerais rien décida t'il. Il ouvrit l'un des nombreux livres qui ornaient la bibliothèque : le Codex des Gardiens Chamaniques. Relisant les quelques premières lignes en vitesse, il prit sa plume remplaçant plusieurs lignes :

Citation :

~~Ni ami, ni famille tu auras, cela pervertirait ton esprit.~~
Tes amis et ta famille tu garderas en tête et près de toi.
Un chaman à toujours raison, écoutes le aveuglément.
~~La force n’est pas seulement dans les bras, travailles ton esprit.~~
Tes émotions sont tes plus grands allies, laissent les guider ton bras.
~~N’agit jamais sous la colère, maîtrises la.~~
La paix est un mensonge, il n'y a que passion.
Méfies toi toujours de ce que tu ne vois pas, vois mais ne regarde pas.
La plus grande victoire c’est de ne pas combattre pour faire fuir ton adversaire.

[...]

Il était tard la nuit, le Gorlak étudiait comme il en avait fait coutume ses derniers temps. Il avait l'air plutôt perturber, une multitude d'écrits théologiques éparpillés devant lui. Depuis plusieurs jours, il avait été pris d'une certaine colère envers certains écrits, qui étaient contraire a ces valeurs et a l'image qu'il s'était forger de Narshoul. Il avait modifier a nouveau ses notes, ajoutant et rayant plusieurs autres lignes du codex :

Citation :

~~Ni ami, ni famille tu auras, cela pervertirait ton esprit.~~
Tes amis et ta famille tu garderas en tête et près de toi.
~~Un chaman à toujours raison, écoutes le aveuglément.~~
La nation est l'outil du peuple douba son dictateur, met la a ton service.
~~La force n’est pas seulement dans les bras, travailles ton esprit.~~
Tes émotions sont tes plus grands allies, laissent les guider ton bras.
~~N’agit jamais sous la colère, maîtrises la.~~
La paix est un mensonge, il n'y a que passion.
Méfies toi toujours de ce que tu ne vois pas, ~~vois mais ne regarde pas.~~
calcule tout tes gestes.
~~La plus grande victoire c’est de ne pas combattre pour faire fuir ton adversaire.~~
Les moyens d'atteindre ton but n'intéressent pas le très Haut, seul les resultats importent.

Après avoir rassembler quelques effets, le Gorlak quitta ou il etait certains personne ne le retrouverais. Ils n'etaient pas pres a apprendre...

Urg revenait des appartements du Roi d'Hildrim, affichant un sourire satisfait. Plus les jours passaient, plus il gagnait la confiance des Nébulix. Pas qu'il avait de mauvaises intentions, c'était un nouveau commencement qu'il était venu chercher non pas conflits comme plusieurs continuaient a croire. Revenant vers le moulin d'Algarond, son domicile temporaire, affichant toujours un air plutôt joyeux que les Nebulix avaient réussi a lui imprégner. Alors qu'il allait prendre repos mériter après sa journée, un murmure lui souffla a l'oreille : "Tu suivras le chemin du peuple". Après ces simples paroles, le cœur du Gorlak stoppa. La Sombralise lui avait prit la vie comme Azgar l'en avait avertie. Il y avait après tout, une erreur dans sa thèse théologique...

[...]

Dans les appartements d'Urg, se trouvait une note si malheur lui arrivait concernant ses derniers souhaits. La lettre était cacheter et noter : A ouvrir seulement en cas de disparition, mort, etc. Elle avait visiblement été écrite bien avant sa disparition et se lisait comme suis :

Citation :

Mes respects a quiconque peu bien lire,

Si vous avez ouvert cette lettre c'est que vous cherchez mes dernières volontés. Votre recherche stop ici, elles sont si dessous.

La maison et les biens qui sont a l'intérieur appartiennent des se jour a Segnah. Je prirais les illustres Seigneurs de continuer a lui conférer droit de passage en ses terres.
La collection d'armes et d'armures se trouvant dans mes coffres personnels vont de droit au Noble Wurzog.
Les contenus divers de mon coffre de banque seront remis a l'entrepôt de la Nouvelle Luk'Maar.
La mince fortune que j'ai accumuler sera, par contre, donner a Taka.

Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 14/04/2007

Bea emporta le papier car elle ne savait pas ce qu'il disait. Pour elle c'était que des dessins. Elle était très inquiète car cela faisait des lunes qu'elle n avait pas revu son maitre.

» Le cheminement de Krokus.